Une rencontre innatendue ~[PV:Aloys P. Sorensen]

Peu après ma rencontre avec la directrice Farron, j'avais réussi à trouver ma chambre. Je n'ai pas vraiment cherché à comprendre quand je suis rentré dans la petite pièce. Il y avait certes deux lits, mais je me disais que comme on ne m'avait pas présenté de colocataire, je ne devais pas en avoir, du moins,pas pour l'instant. J'ai donc négligemment déposée mes affaires dans un coin de la pièce, pour ensuite aller me doucher et me changer. Comme il commençait à se faire tard, je me suis directement couché, et je ne tardai pas à m'endormir.

Mon sommeil fut profond et sans rêve, comme la plupart du temps, jusqu'au moment où je sentis les rayons du soleil chatouiller doucement mon visage. Je grognai et me retournai pour enfouir mon visage sous la couette, mais rien n'y fit, une fois réveillé, je ne pouvais plus me rendormir. Je décidai alors de me lever. Je me changeai rapidement, optant pour un jean noir et une simple chemise blanche. J'entendais du bruit près de la chambre, je trouvais ça suspect, quelqu'un de réveillé dès l'aurore... Et les volets, j'étais certains de les avoir fermés... Je m'armai donc avec précaution et m'approchai doucement de la porte. Soudain, alors que j'allais l'ouvrir, la porte bascula. Je reculai vivement, mais pas assez pour éviter un verre d'eau.

- Mais qu'est ce que tu fou dans ma chambre!?

C'était un jeune homme brun, peut être de mon âge, il semblait furieux, au moins autant que moi. Je levai alors subitement mon arme à feu au niveau de son visage.

- Je crois que c'est plutôt à moi de te poser la question! Qui es tu?!

J'affichai un air farouche, prêt à faire feu ou à esquiver en cas de réplique de mon interlocuteur.

L'atmosphère était lourde, et après une légère réflexion, lui présenter un pistolet sous le nez, n'était peut être pas la meilleure chose à faire. Néanmoins, mon interlocuteur ne dis rien, se contentant de soupirer. Il ne semblait nullement affolé par la présence de l'arme, peut être était-il convaincu que je ne tirerai pas? Le fait été qu'il me décala doucement vers la gauche. Je n'opposais pas de résistance, préférant suivre son mouvement du regard, et surtout de l'arme. Il ferma alors la porte, tout aussi tranquillement, à croire qu'il me prenait pour un animal qu'il ne fallait pas effrayer par des mouvements brusques... C'était peut être pas faux, mais cette pensée me vexa.
Il se positionna devant moi, et me fixa dans les yeux.

- Je suis Luka Crosszeria. Et tu est dans MA chambre!

Je lui rendis son regard sans ciller. C'était une confrontation, tout aussi importante que si nous en étions venue aux mains. Il repris alors froidement.

- Baisse ton petit joujou que tu as dans la main.

Ah oui.. C'est vrai, je le menaçai toujours... Aha...

-Je ne suis pas sûr que tu le considère toujours comme un "joujou" quand il t'aura fait exploser la cervelle...

Je baissai néanmoins mon arme, historie de montrer un semblant de bonne volonté, j'ajoutai alors en me reculant quelque peu.

-Enfin, on ne va pas en arriver jusque là, hein?

Je n'attendais pas spécialement de réponse, aussi, je lui tournai le dos, tout en restant tendu, pour fouiller dans mon sac. J'en sortis un papier dans une pochette plastique, et le tendis au dénommé Luka.

-Je suis Aloys Sorensen, et désolé de te l'annoncer, mais je serai ton nouveau colocataire...

J'esquissai un semblant de sourire, mais mon visage redevint vite sérieux, tandis que je rangeai mon arme sur ma ceinture.

Il me rendit le regard sans ciller on aurait dit une bataille de regard. Puis il me répondit:

-Je ne suis pas sûr que tu le considère toujours comme un "joujou" quand il t'aura fait exploser la cervelle...

- Si tu le dis.

J'était très calme et je vis qu'il baissai son arme pour faire sans doute semblant de montrer de bonne volonté puis il rajouta que comme quoi on allait pas en arrivé là. Je ne répondis pas a cette question que je trouve stupidement idiote, bien sûr qu'on va pas arriver là sinon je l'aurai déjà attaquer avec mon épée. Il me tourna le dos puis fouilla dans son sac et pendant qu'il fouillait dans son sac je ne le lâchai pas d'un oeil par pur méfiance. Oui je suis très méfiant envers des inconnus surtout celui de son genre. Il me fait pensé à un idiot que j'ai buté y'a pas si longtemps que sa. Puis il sortit un papier dans une pochette en plastique puis me le tendis tout en me disant:

-Je suis Aloys Sorensen, et désolé de te l'annoncer, mais je serai ton nouveau colocataire...

Je ne bougeai plus pendant 10 min. C'est une blague hein?Hé ben non s'en était pas une. Je me mis la main sur le front tout en disent:

- Je vais en buter une je le sens. Bon bah bienvenue à toi mon nouveau colocataire...

Je m'était forcé un peu pour lui souhaiter la bienvenue car oui je pensai être tranquille et solitaire comme je l'était toujours. Puis Sodom mon allié venu en forme humaine en regardant Aloys et en disent:

- Dites!Dites maître c'est votre copain?Hein?Hein?

- Moui si tu veut Sodom.

- C'est super sa je vais pouvoir m'amuser avec lui youpiii!!

Je soupirai car Sodom était pire qu'un gamin qui voulait des copains.

(HS: Voilà à quoi ressemble Sodom en forme humaine:

Spoiler:

)

J'avais montré ma fiche d'inscription à Luka, et un long moment passa. Certainement le délai d'attente du chargement. Son cerveau n'arrivait sûrement pas à traiter la donnée... Il était en train de bugger quoi...
Bref, l'information sembla arriver violemment à l'esprit de mon nouveau colocataire. Il perdit son agaçante impassibilité, et passa sa main nerveusement sur son front. Puis, il déclara, plus pour lui même que pour moi un "Je vais en buter une je le sens." Tiens, on a plus ou moins eu la même pensée. La connection du colocataire? ... Drôle d'idée, plutôt saugrenue d'ailleurs...

-Bon bah bienvenue à toi mon nouveau colocataire...

Oh tiens! Un peu de bonne volonté de son côté aussi! Bref, je fis bonne figure et le remerciai de sa "bienvenue" d'un signe de tête. Soudain, un être insolite entra à son tour. Le fixant d'un air dubitatif, je m'attendais au pire, soit dit en passant... Un autre colocataire, mais il ne nous informa en rien quand à son identité, jusqu'à, après m'avoir quelque peu dévisager, questionner Luka.

-Dites! Dites maître c'est votre copain? Hein? Hein?

"Maître"? J'étais tombé sur un princillon de bas-étage ou quoi? Et puis, la question du nouveau venu était... Allez Al", trouve nous un adjectif pour qualifier tout ça... absurde! Oui, voilà, absurde! Moi, "copain" avec... Ce machin dédaigneux? AH! ça jamais!
Bref, Luka lui répondit en un soupir que si ça pouvais lui faire plaisir. Et mon air désaprobateur n'entama en rien le flegme caractéristique qu'avait retrouvait mon nouveau coloc"... Ni l'enthousiasme de son serviteur qui s'écria :

-C'est super ça je vais pouvoir m'amuser avec lui youpiii!!

Soudain, je me sentis seul... Très seul... Et alors, me vint à l'esprit la phrase qui tue, la phrase qui arrive quand je commence à perdre mon calme... La phrase de la moooort... Enfin, une phrase quoi.

-Wowowow! C'est quoi ce délire?

Eloquent n'est ce pas? Bref, désirant étayer mon exclamation, je désignai celui que Luka avait appelé Sodom.

-T'es qui toi d'abord?

Puis, sentant venir une perte totale de dignité car oui, comme tout le monde le sait, je ne sais pas m'exprimer correctement que je m'énèrve, je décidai de prendre la fuite... Attention! Pas n'importe quelle fuite, celle là, c'était juste pour signifier qu'ils n'étaient pas digne de mon auguste présence... Voilà tout. Aussi, je déclarai.

-Bah, comme si c'était important...

Avant d'emprunter la sortie pour descendre dans la cours... Cette rencontre fut plutôt frustrante, je ne me sentai pas à l'aise, il fallait l'avouer... Après une certaine réflexion, ce Luka dégageait une étrange aura, quant à l'autre, il était tout aussi bizarre que son compagnon... Je soupirai un instant, avant de déclarer en mon for intérieur, que j'avais besoin de sucrerie.

Une légère brise souffla sur la cours, tandis que je soupirai de dépis. A ce moment là, je pensai qu'une cigarette aurait-été la bienvenue, à défaut de sucrerie, mais malheureusement, ces dernières étaient interdites dans l'enceinte de l'académie... Evidemment, j'en avais un paquet dans mes valises, mais ça n'aurait pas été malin de fumer maintenant. Perdu dans ces courtes pensées, je sentis quelque chose au dessus de ma tête, quelque chose qui se rapprochait inexorablement de ma personne... Quand soudain, ce quelque chose atterit. De petites boules informes et de couleurs différentes tombèrent un peu partout autour de moi, et sur moi. Je pris alors un air surpris, et lorsque j'attrapai une de ces boules, je sentis sa consistance plutôt molle entre mes doigts. Je la lâchai alors au sol et les particules qu'elle laissa sur le bout de mes doigts ne me laissait aucun doute par rapport à l'identité de ces choses... Des... Friandises... Il pleuvait des friandises? Depuis quand? Je levais alors la tête pour percer le mystère, et se que je découvris ne me surpris pas outre mesure. Accoudait à la fenêtre de ntore chambre, mon colocataire me fixait d'un air narquois et fièr de lui. Je fronçai les sourcils tandis qu'une vague d'indignation montait en moi. J'avais voulu me la jouer cool, mais aura étrange ou pas, il allait s'en prendre une dont il se souviendrait longtemps. Je me secouai rapidement, m'assurant que je ne transportai plus de friandises clandestines, puis, je me précipitai à l'intérieur du bâtiment. Pendant que je marchai, je réfléchissai à un plan pour me venger convenablement, quand soudain, une idée me traversa tandis que je passai à côté des cuisines. L'employée qui travaillait à cette heure matinale à la cantine était assise à une table avec un café et une cigarette... Si j'avais su... Bref, j'entrai discrètement et me dirigeai vers le frigidaire. J'ouvris la porte avec la plus grande délicatesse, puis, cherchant rapidement, je trouvai l'objet de ma futur vengeance. Souriant, je dissimulai le tout sous ma veste, refermai la porte et sortit tout aussi discrètement qu'à l'entrée. L'employée n'avait pas bougé d'un pouce pendant toute la durée de l'action.
J'ouvris la porte de ma chambre comme si de rien était, Luka n'avait pas bougé, il semblait si arrogant, si suffisant. Je réprimai un soupir, et lui rendit un regard neutre, je m'approchai de lui doucement.

- Aha, c'était vraiment très drôle la pluie de bonbons...

J'étais, je le pensai, à distance raisonnable, quand je sortis l'objet mystère : une bombe de chantilly! Quelle brillante idée, mwahaha! J'aspergeai alors Luka da la délicieuse crème blanche. J'arrêtai quand je jugeai que la chantilly avait suffisement recouvert le visage de mon colocataire. Il ne semblait pas vraiment avoir compris se que je venais de faire, tandis que je déclarai "Aaaha!" d'un ton monotone. J'attendai alors une quelconque réaction, la bombe de chantilly toujours dans ma main.

J'observai mon oeuvre, parfaitment ravi et fière de moi, il l'avait bien chercher, cet espèce de princillon! Il était figé, ne comprenant visiblement pas ce qu'il venait de lui arriver. La chantily commençait à se liquéfier, et tombait petit à petit, puis Luka se secoua, envoyant valser la chantilly qu'il avait sur lui, et me jeta un regard courroucé, soudain, le guignol de l'autre fois réapparu, tenant dans ses bras cequ'il semblait être... Un... Un pistolet à eau... Il pensait vraiment m'arroser avec ça? Ah, la bonne blague...

-Je peux jouer avec mon nouveau copain néee?

Wowowo, de quel copain il parle lui? On a pas élevé les cochons ensembles! Bref, Luka le renvoya bien vite d'où il venait, de manière assez sèche même. Je haussai les épaules, quel prétentieux ce mec... Puis, il déclara d'un air carnassier :

- Alors là tu va me le payer !

Je levai un sourcil, amusé par la déclaration de Luka, que comptait-il me faire avec de l'eau? Il leva son arme et appuya sur la détente. Je pouffai en m'attendant à recevoir une gerbe d'eau que je ne cherchai pas à esquiver. Erreur fatale... J'aurais dû me douter que Luka aurait été plus inventif... Après s'être reçu de la chantilly s'était normal. Et tandis que je me recevait une pâte collante de couleur plus que suspecte, et à l'odeur sucré plus que caractéristique, j'eu comme l'impression d'observer la scène d'un tout autre point de vue. Je me voyais fixer Luka d'un air incrédule, tandis que son sourire s'agrandissait au fur et à mesure que la pâte de bonbons écrasés me recouvrait de la tête au pied... Mais qu'avait-il avec les friandises?
Puis, son chargeur vide, Luka admira son oeuvre et éclata de rire, il avait eu sa vengeance, mais pas pour longtemps! Foi de Aloys! Peut importe ce que je devrais faire, je lui ferais regretter d'avoir voulu me tenir tête! Une idée saugrenue -Je dois l'admettre- me traversa l'esprit, et alors que je devais être furieux, un sourire narquois se dessina sur mes lèvre, et je déclarai avec une inquiétante tonalité :

- Tu sais Luka Cross-machin, mes parents ont disparu il y a quelques années de cela, et depuis, je suis en manque constant d'affection.

Mon colocataire me fixa d'un air indéchiffrable, tandis que je posai au sol la bombe de chantilly quasi vide. J'ouvris à ce moment là les bras, et fis un pas vers l'avant. Un shflock retentis, puis un autre, tandis que je me rapprochai de Luka, l'air menaçant. Il semblait avoir compris ce que je comptais faire, sans vraiment y croire. Je te comprends Luka, moi aussi j'ai du mal à croire que je vais faire ce que je suis sur le point de faire. Peu à peu, mes bras se refèrmerent autour de Luka. Oui, du point de vue d'un spectateur, on aurait put croire que j'étais en train de l'enlacer, mais en réalité, j'étais juste en train de partager sa charmante pâte collante de bonbons écrasé, il allait savoir ce que ça fait de faire "schflock" quand on marhce... Ou pas, mais ce n'était pas le plus important.
Puis, j'entrepris d'essayer de me décoller de Luka, mais la "sweetglue" ou colle de bonbon, comme vous voulez, faisez bien son office. Impossible de nous décoller. On voyait bien que Luka essayait lui aussi de se détacher, mais rien à faire. On tirait tellement chacun de notre côté, que finalement, l'un de nous finis par entrainer l'autre, en l'occurence, Luka m'emporta, et nous nous retrouvâmes à terre. Ce fut à ce moment précis que mes nerfs me lachèrent et que je commençai à rire.

- J'ai été con hein? Allez dis-le... N'empêche maintenant, on à l'air de con tous les deux... Hahaha!

Puis, je ne dis rien, continuant de glousser de temps à autre.

- Hé, si on s'en sort tous seuls, et que personne ne nous vois comme ça, je t'accorde une faveur... Enfin, pas le Saint Graal non plus, hein?

Ouaip... Manquait plus que la porte s'ouvre pour terminer de m'achever, et je regretterai définitivement de m'être inscrit dans cette école...

Pour les faux jumeaux cela fessait peu de temps qu'ils était rentrés dans l'académie en connaissent rien ils marchaient n'importe où jusqu'à qu'Usoku dit en râlent:

-Rahhh! J'ai envie de me reposer j'en est marre de marcher pour rien avoir à la fin on va chercher une chambre!

-Mais, frérot il vaut mieux qu'on vois la principale pour avoir tout ce qu'on à besoin! On n'est pas chez nous ici! Dit Shiri en froncent les sourcils à l'encontre du comportement de son frère qui était malpolie.

Mais, pour Usoku il tirait l'oreille de sa sœur en lui disent:

-On s'enfous de la principale on la trouvera plus tard! J'ai envie de m'allonger sur un lit pour me reposer!

-Aïe! frérot tu me fait mal!

Usoku soupirait et relâche l'oreille de sa sœur et dit calmement:

-Bon on va reposer d'accord?

-D'accord frérot... Mais, si les chambres sont pas mixte comment on fait pour dormir ensemble? Dit Shinri d'un air inquiet.

-On s'enfout des règles pour le moment alors pour les chambres mixte ou pas on s'enfout vu qu'on va se reposer juste et après on verra d'accord?

-D'accord...

Usoku marchait en tenant le bras de sa sœur et en arrivant vers les dortoirs Shinri passe devant son frère d'un coup et se dirigea vers les chambres des garçons sous l'étonnement de son frère qui dit:

-Mais Shinri qu'es que tu fait!?

-Il y a que toi qui à envie de se reposer alors on va chercher une chambre dans le dortoir des garçons au moins tu auras pas une envie d'observer les filles!

-Mais...

-Pas de mais je te connait frérot!

Usoku soupirait et c'est à alors que Shinri va vers une chambre et décide de toquer légèrement et ouvre doucement la porte et vois les deux jeunes hommes coller par une pâte colorée, cela ne la déranger pas mais c'est le fait qu'ils soit à terre entrelacer comme si c'était un couple qui la rendait perplexe sur le coup qu'elle commençait à rougir de gêne déjà qu'ils avaient pas de chambre attribués alors, déranger les élèves déjà inscrit c'était un peu la honte alors elle dit:

-Euh... Je me prie de m'excuser je...nous...nous... voulons pas vous dérangez... Alors, on va chercher une autre chambre pour nous reposer...

Usoku ne voyait pas la scène était curieux qu'il poussait un peu sa soeur en demandent:

-Mais, pourquoi tu rougit soeurette... Il se passe quelque...

Vois la même scène alors il la regardait avant de pousser un rire car, à ses yeux cette scène est marrante à voir pour se moquer des jeunes hommes.

-Oula, je vois qu'on à interrompus une scène qui allait partir loin!

-Frérot arrête! Arrête de te moquer d'eux!

-Non c'est bien trop marrant de voir sa déjà c'est une première que je vois ça je sent que cette journée va être marrante pour moi et honteuse pour eux!

-Frérot!! Arrête! C'est vraiment méchant de ta part!!

-Mais non sœurette tu n'a pas d'humour!

En entendent cela Shinri fronçait terriblement des sourcils qu'elle fout une sacrée claque dans la figure de son frère qui lui fait des gros yeux mais elle dit d'un air glacial:

-On va chercher une autre chambre d'accord en les laissant tranquille tu as bien compris?...

-Mais, attend sœurette peut-être que ses gens on besoin d'être aider non?Dit Usoku disait sa pour que sa sœur se calme pour pas qu'elle perd le contrôle de ses pouvoirs à cause de l'émotion de colère qui cumuler à cause de lui.

Shinri réfléchie en soupirant et tournait son regard vers les deux jeunes hommes et demande gentillement:

-Je suis désolée pour le comportement de mon frère jumeau mais vous avez pas besoin d'aide car avec cette pâte colorée me donne la conviction que vous avez besoin d'aide...

Alors, ils les regardaient pour savoir leurs réaction et leurs réponses même si peut tout arriver à tout moment...

Alexander vagabondait dans les couloirs de l'Académie, tête baissée sur un livre qu'il avait réussi à se procurer en ville.

Il marchait en silence, sans croisé aucun élèves, ce qui se faisait rare, et cela l'enchantait bien, et pendant sa lecture marchante, celui-ci repensait toujours à la jeune fille sur laquelle il était littéralement tombé en slip...
C'est à ce moment qu'il arriva dans le bâtiments qui contenait les dortoirs, il pensa regagner sa chambre, et pour cela, il gravit ,les marches de l'escalier menant au premier et tourna à gauche, lorsqu'il vit deux personnes qui semblait discuter face à une porte ouverte, il s'approcha machinalement et remarqua que c'était la jeune fille sur laquelle il avais atterrit et ce qui semblait être son frère.

Il s'approcha doucement en commençant à parler:

"Tiens, salut... Qu'est-ce que vous faites dans les dortoirs, on vous a donner...."

Alexander se coupa net lorsqu'il vit se qu'il se passait dans la chambre et devint rouge de honte et balbutia de honte, justement et légèrement de colère:

"Fai...FAire sa... dev...vant des g..gens en plus... Vou...Vous devriez...a..av...avoir Hon...te!!

Alexander tendit alors sa main qui commença à prendre une teinte violacée... Celui-ci était en train de charger une boule Psy qu'il allait envoyé sur les deux garçon qui était visiblement sur le point d'accomplir certaines choses devant des gens pures et innocents et il fin it par tirer sa boule d'énergie après une minute de charge, il dit alors:

"Fermer au moins la porte à clef, quand vous voulez être tranquille..."

Et il attendit de voir la réaction des deux garçons qui venait de se prendre sa boule psy...

Mon nouveau colocataire ne s'attendais surtout pas à avoir ce genre de pâte collante sur lui, au contraire il avait pouffai de rire car il croyais qu'il allait recevoir juste un jet d'eau. Après avoir eu ma vengence,monsieur le prétencieux elargit son sourire narquois tout en me disant d'un air...très inquiétant:

- Tu sais Luka Cross-machin, mes parents ont disparu il y a quelques années de cela, et depuis, je suis en manque constant d'affection.

-Euh....

Il se fout de moi hein?Il s'avancais vers moi en étant aspérger de pâte collante, attendez une minute. Ne me dites pas qu'il est devenu affectif enver moi!?Je me mis à le regarder d'un air indéchiffrable mais plus il s'avancait vers moi plus je comprenai ce qu'il voulait faire. Lorsque je compris, Aloys avait fini de m'enlacer dans ces bras et donc c'était à mon tour de partager la sweetglue. Je me mis à rire puis essayais de m'enlever et là....Impossible. Je m'énervais tout doucement puis tira de mon côté tandis que Aloys tirait de l'autre. Impossible de s'enlever ! Au bout d'un moment on a tellement tirer de notre côté qu'on s'est retrouvée par terre,Aloys étant au-dessus de moi.Alors la j'ai qu'un mot a dire : on est dans une grosse merde. Tanndis qu'Aloys lui se met a rire bêtement tout en disant:

- J'ai été con hein? Allez dis-le... N'empêche maintenant, on à l'air de con tous les deux... Hahaha!

- Je n'ose même pas répondre...

- Hé, si on s'en sort tous seuls, et que personne ne nous vois comme ça, je t'accorde une faveur... Enfin, pas le Saint Graal non plus, hein?

- Ne compte surtout pas sur moi.

Il faudrait être la nuit pour pas que quelqu'un vienne, ce qui n'était point le cas. Je n'espérer pas trop et j'avais bien raison car 1à minutes plus tard deux jeunes personnes venu. Il me disaient légèrement quelque chose. Le jeune homme c'est mis à se moquer de nous tout en disent:

-Oula, je vois qu'on à interrompus une scène qui allait partir loin!

La jeune fille esseyais de calmer celui qui était apparemment son frère. Mais son frère rajouta:

-Non c'est bien trop marrant de voir sa déjà c'est une première que je vois ça je sent que cette journée va être marrante pour moi et honteuse pour eux!

Alors là je commencais à m'énerver car ce n'était plus si drôle que sa maintenant, je me mis à regarder d'un air très glacial ma cible qui était le jeune morveux. Ensuite il manquait plus qu'un intello qui viennent et nous lance une boule psy. Ce n'est pas pour auttant qu'on était liberer. Mon regarde devenait de plus en plus glacial et je répondais au 3 personnes :

- Vous voulez que je fasse pareil !?Rentrez dans votre chambre en ouvrant la porte sans toquer!?Mais je vais vraiment m'énerver et vous aller voir de quel point je me chauffe! Et je ne suis pas gay c'est juste un délire entre nous ! Bande d'humains sans cervelle!

- Ne compte surtout pas sur moi.

Je soupirai. Tant mieux d'un certain point de vue, j'avais pas si envie que ça de lui rendre un service. J'entrai alors en profonde réflexion. Comment allions nous nous sortir de là? J'avais toujours quelques poignards dans une de mes poches, mais pour les atteindre, ça allait être costaud, surtout que je n'étais pas certains qu'ils seraient d'une grande utilité face à cette glue. Ha... Brillante idée Luka... VRAIMENT! J'étais sur le point de lui suggérer ma solution, quand soudain, la porte s'ouvrit, et je me sentis seul... Très seul... Je pouvais imaginer que mon colocataire ressentait la même chose, mais à vrai dire, je n'en avait rien à foutre. Des éclats de voix retentirent. Mon esprit, choqué par la situation n'en retint pas grand chose. Juste qu'un crétin se foutait royalement de nos gueules, et que sa soeur semblait vouloir le calmer. Luka semblait bouillonner intérieurement, et c'était mon cas aussi, néanmoins, je pouvais parfaitement concevoir qu'il serait vraiment difficile d'aller péter la gueule à n type qui se foutait de nous, dans la position dans laquelle nous étions.
Mon colocataire portait toute son attention sur les intrus, tandis que moi, j'essayais tant bien que mal de bouger ma main jusqu'à la poche arrière de mon pantalon, là où se trouvait mes précieuses armes blanches. J'y étais presque quand soudain... BOUM. Nous nous reçûmes (comment que je cause) de plein fouet quelque chose de non identifié. Je me sentis propulsé vers l'arrière, Luka avec moi. Les positions étaient maintenant inversé, il était dessus, et moi au sol. Je crois que si j'avais put, j'aurais certainement craché des flammes, tant j'étais en rogne. Ca montait en moi, et ça ne descendrait pas avant d'avoir explosé un bon coup. Je pris une profonde respiration. Mon partenaire s'égosilla, par chance, ma main était restée sous mon corps, près de la poche salvatrice. La position de mon bras était plutôt douloureuse, mais c'était encore plus douloureux pour mon égo de rester dans cette position jusqu'à ce que quelqu'un daigne nous prêter ma forte.
Mes g*doigts glissèrent encore un peu, et entrèrent dans la poche. Ils touchèrent le manche d'un poignard. Attention, partie délicate, il fallait éviter de se couper, ou de lâcher le manche. Je tirai doucement le manche. Luka était en train d'achever sa phrase et je n'y avais absolument pas prêté attention.

- C'est juste un délire entre nous ! Bande d'humains sans cervelle!

Ah ça, pour être délirant, ça l'était... Un peu trop même. Je venais d'extirper le poignard de sous mon dos. Je respirai de soulagement. Mon bras était endolori, mais j'avais notre sauveur dans la main. Je remarquai alors que, si l'explosion du machin non identifié (ou MNI), elle avait permis à certaine partie, notamment les bras et le bas des jambes de se libérer. Mon arme à la vue de tous, j'articulai doucement, essayant de rester maître de moi même avant d'exploser quand je serai libre.

- Bon, Luka, tu vas tirer de ton côté afin d'éteindre au maximum ta "super" pâte de bonbon, et je vais la couper en évitant de nous charcuter, ok?

Quand je disais "super", j'étais ironique, mais j'espérai bien que mon colocataire s'exécute, son envie de se décoller de moi prédominant sur celle de me refaire le portrait... Enfin, je suppose. Nénamoins, juste avant de mettre à exécution mon super plan de la mort qui tue parce que j'ai trop la classe (sauf dans cette position... Hum...) je m'adressai aux intrus, leur jetant un regard noir.

- Quand à vous, une fois libres, vous regretter amèrement vos fautes de jugement, c'est moi qui vous le dit.

Pour l'instant, j'avais l'air calme, et ça devait être ça peut être, qui mettait le plus mal à l'aise.