Prendre son courage a deux mains c'est pas si facile![PV:Aloys P. Sorensen]

Les mercredis après midi il n'y avait jamais cour,et moi je devais rester dans ma chambre pendant que mon frère jouer au jeux vidéos et mon père rester en amoureux avec ma mère. Je décida d'aller dans le bureau de ma mère et de supplier mes parents qu'ils m'autorisent à me laisser sortir, ma mère était d'accord et m'avais dit qu'il fallait qu je fasse très attention a moi et que s'il y a un problème je devais immédiatement l'appeller sur son portable ou sur celui de mon père. Je sautilla de joie et remercia ma mère ainsi que mon père pour enfin partir de l'Académie et m'en aller en ville. Arriver à Kamiki je m'arrêta vers une petite tombe,c'était la tombe de ma meilleure amie morte a cause d'un camioneur, je cueilla un petite margueritte puis la mis sur la tombe. Je me retourna et me souvenue de cette foule affollé et mon sauveur Aloys... Je souris puis vu des ruelles sombres, curieuse comme je l'était, je rentrai dans cette ruelle sombre de plus en plus , je n'était pas rassuré. Je me cogna contre quelque chose. Un homme me pris par le col et me regarda avec un sourire un peu pervers:

- On s'est perdu petite?Tu cherche ta maman?

Il se met à rire mais il n'était pas seul les gars de sa bande se mettent à rire tout comme le chef de la bande. Je lui mis une claque tout en disant:

- La ferme! Je ne suis pas petite pauvre con! Lâche moi maintenant sale porc!

Oho je crois que j'en ai trop fait... Le chef me plaqua contre le sol et me bloqua tout en disant a ses hommes de me fouiller s j'avais quelque chose, les hommes me touchaient et j'en avais horreur. S'il vous plait que quelqu'un viens m'aider!

Mercredi. Je n'avais jamais vraiment aimé ce jour. C'était précisément le jour où ma famille organisait des sortes de tournois pour désigner sur quel membre elle pouvait compter ou non. Je ne dis pas que j'arrivai dans les derniers, loin de là, mais je n'appréciait juste pas le fait de devoir marraver la gueule de mes cousins. Et je n'aimais pas non plus quand c'étaient eux qui me dominaient. Et encore moins quand touuut le reste de la famille nous regardait d'un air ahuri du genre des gens qui regardent un film dont on fait un commentaire désobligeant toutes les deux secondes...
Bref. Aujourd'hui, il n'y avait eu ni tournois, ni dominé, ni commentaires stupides. Juste des cours et une séance d'entrainement pour la forme.
Les élèves avaient l'après-midi libre. Je me disais qu'à notre âge, ils auraient été capable de nous donner plus de cours, mais au final, c'était mieux comme ça. Donc, ma journée de "dur labeur" était finis, je pouvais faire ce que je voulais. Ma réserve de sucreries était au beau jour, je n'avais donc pas besoin d'aller en acheter... Remarque, je pouvais toujours sortir pour en manger en me baladant... Cette option me tentait. Je décidai donc de prendre une douche. A cette heure ci, il ne devait pas y avoir grand monde, et puis, c'est que j'étais en sueur moi!
Une fois propre je pris la direction de la sortie en m'étirant. Jolie journée en perspective. Je n'avais pas croisé Luka, donc, il n'avait pas put me la pourrir, Usoku non plus, et les profs m'avaient foutu la paix. Autant dire que pour une fois, mon humeur était au beau fixe!
Bref, Kamiki était toujours une ville aussi agréable que la première fois qu'il était arrivé. Je déambulait donc un petit moment avant de prendre la direction du magasin de sucrerie. Comme un enfant, je salivai d'avance en pensant à comment j'allais me remplir la panse, mais mon rêve éveillé prit vite fin lorsque je remarquai une frimousse connue, ou du moins familière. Je crut reconnaitre la fille de la principale, celle là même qui avait souffert d'un accident de camion. J'avais bien crut qu'elle allait en mourir, mais elle avait miraculeusement survécu. Je me rappelle que j'avais ressenti à ce moment là un grand soulagement. Autant pour elle que pour moi... Oui, pour moi aussi, parce qu'après coup, j'avais pensé à ce que ferait la principale Farron si sa fille avait succombé à un accident de camion avec un élève de son académie aux alentours...
Bref, re-focalisant mon attention sur elle, j'eu un moment de haut scepticisme quand je la vis entrer dans les ruelles sombres. Je restai un court instant immobile, planté comme un piqué, du genre "Mais... attends, je rêve là?". Cet endroit était mal famé, même un touriste comme moi pouvait le savoir. Je repris vite mes esprits, et décidai de la suivre... Juste au cas ou... C'est que, j'avais un mauvais pressentiment moi! Bon, je restai quand même à l'écart, histoire que si il ne se passait rien, j'ai pas l'air d'un paranoïaque détraqué et complètement psychopathe, néanmoins, le temps me donna raison.
Haruna, du moins je pensais que c'était elle étant donné que je ne l'avais vu que de dos, marchait oisivement, observant avec curiosité tout ce qu'il se passait autour d'elle, soudainement, elle percuta quelque chose, enfin, quelqu'un.
Un homme, plutôt massif, l'attrapa par le col, et lui parla d'un air tendancieux. Mon sang ne fit qu'un tour lorsque je les vit s'égosiller en riant. La jeune fille gifla alors soudainement le chef de la bande. Le claquement retentit dans toute la ruelle. Énervé, l'homme plaqua la rosée au sol. Il aboya à se sous-fifres de la fouiller. La pauvre se débattait sans succès, je m'élançai donc sans plus attendre.
Ils étaient cinq, six en comptant le chef. Quel courage, six pour maitriser une fille... Raah, ça me mettait hors de moi! Entrant un scène, j'en bousculai deux. Ceux-ci, trop abasourdis pour réagir furent maitrisés sans problème. Les quatre autres se relevèrent subitement et s'éloignèrent. J'attrapai vivement le bras d'Haruna, car maintenant je savais que c'était elle, la relevai et la mit derrière moi.

- T'es qui toi?! Son chevalier servant?

J'eu un soupir dédaigneux, et un regard meurtrier à l'intention du chef des lascars. Il eut un mouvement de recul, tandis que j'esquissai un sourire narquois.

- Précisément, et vous, vous allez perdre vos dents pour avoir osé la toucher.

L'un de mes opposants s'élança un hurlant tel un babouin sauvage. Son attaque était tellement ridicule, je n'eut aucun mal à l’assommer. Plus que trois... Enfin, deux, l'un décida sagement de prendre la fuite. Je ricanai. Ahh, quelle intense satisfaction de sentir la peur que l'on inspire aux autres, ça en serait presque malsain. Je continuai de sourire, sachant ma victoire imminente. Je m'avançai doucement vers les deux derniers. Le chef articula un bref ordre, et les deux se jetèrent sur moi. Je me baissai une première fois pour éviter une première attaque, et, frappant deux fois l'abdomen d'un des hommes de main, je le paralysai. Il tomba au sol. Je sentis alors une présence dans mon dos. Je fis un pas de côté pour esquiver l'assaut lancé, mais c'était sans calculer le fait que le dernier restant, le chef, tenait une chaîne. D'où la sortait-il? Mystère! En fait, je m'en foutais un peu, surtout que celle-ci percuta violemment mon bras droit. Ressentant une vive douleur, je refusai de laisser échapper ne serait-ce qu'un gémissement. C'est vrai quoi, j'avais à faire à un bouseux quoi! Je pris donc appuis sur ma main gauche et jetai mon pied gauche vers la tête de mon dernier opposant. Celui-ci grogna en voyant le coup venir. Il voulu parer, mais c'était à un Sorensen qu'il avait à faire, fallait pas déconner, quoi! J'atteins donc ma cible. Celle-ci s'écroula lourdement sur le sol. Lorsque je me remis debout, je put constater que du sang coulait de son nez, et qu'il était inconscient... Cette vision m'arracha un sourire. Puis, je me dirigeai vers Haruna qui avait assisté à toute la scène. Durant un instant, je regrettai de m'être autant laissé allé devant une fille, mais en même temps, mes adversaires étaient trop faible pour que je puisse laisser éclater toute la rage dont j'étais capable. Je massai doucement mon bras endolori avant d'étendre ma main vers le front de la jeune fille. Je lui donnai une petite pichenette affectueuse avant de déclarer narquois.

- Alors, on décide de partir toute seule à la grande aventure Haruna?

Ma main, toujours proche du front de la rosée écarta une de ses mèches de son visage rond. Elle n'avait pas grandi d'un poil... Mon sourire s'effaça pour laisser place à un air plus sérieux et quelque peu fâché.

- La prochaine fois, demande à quelqu'un de t'accompagner, ou reste en centre ville... Tu imagines ce que pourrait ressentir ta mère s'il t'arrivait encore quoique ce soit?

Je parlai de Lightning, mais en même temps, je pensai aussi pour moi. Depuis que j'avais aidé à sauver Haruna, je m'étais pris d'affection pour elle. Elle semblait si fragile, comment ne pas vouloir la protéger? Ma main reprit sa place, dans la poche de mon blouson, tendit que je regardai d'un air sévère Haruna, un air sévère qui cachait l'inquiétude que j'eu en la voyant en danger...

Alors que j'était entrain de me faire raquetter par des stupides garçons, Aloys est venu a mon secours. Cela me rappelle lorsque Aloys m'avait sauvé la vie en me donnant un peu la sienne, depuis ce jour là je crois être tombée amoureuse de ce prétencieux jeune homme comme le dit souvent Luka.Bref revennons à notre sujet principal ou plutôt le bilan. Alors Aloys à tuer les 6 mecs qui m'avaient menacés ,mais j'avais un peu peur pour Aloys surtout pour son bras. Il venu vers moi, puis me fit une petite pichnette sur le front mais une pichnette affective, Je rougis comme ue tomate puis il me dit comme comme quoi je décider de sortir tout seul faire la grande aventure toute seule, je me mis à rire de gêne et à me gratter dérrière ma tête sous gêne. Puis il me regardait sérieusement et plutôt sévère en me disant que c'était mieux de me faire accompagner après je n'avais pas du tout suivi le reste. A ce moment là, moi je penser à sa pichnette j'ai pu sentir sa chaleur et je suis rassuré d'un côté car rien que de sentir sa chaleur me fait le plus grand des bonheur. Je revenu à mes esprits et regardai ailleurs en disent:

- Gomene, je ensais pas me faire menacer par des garçons aussi stupide, hum sinon tu...Hum pourquoi est tu là?

Haruna tu est la plus grande des sottes au lieu de lui dire qu'il t'accompagne avec toi jusqu'à l'académie toi tu lui demande une question bête alors que tu est en tord! Je soupirai puis secouais ma tête sous le coup de gêne et regardai Aloys dans les yeux. Han c'et yeux sont magnifique,je voyais que malgré cet être prétencieux ce garçn avec un grand coeur, c'était plutôt rassurant d'un côté car si on sortais ensemble je pourrais être dans ses bras quand je fais des cauchemards ou que je vois des visions effrayantes, je pourrais l'embras.... Euh qu'est ce que je raconte la!?2 min après avoir regarder dans ses yeux je détourna tu regards et sifflota tranquillement. Puis dis inconsiamment:

- Dis tu sais que cela veut dire "amour"?t dailleurs tu est déjà sorti avec une fille?

- Gomene, je pensais pas me faire menacer par des garçons aussi stupides.

Je soupirai un "Tss" comme pour signifier que ce n'étais pas une raison pour agir inconsciemment, mais Haruna continua sur sa lancée.

- Hum sinon tu...Hum pourquoi es tu là?

J’eus un bug, et ce fut à mon tour de détourner le regard. Je ne pouvais pas lui dire que je la suivais... Enfin, pas que je la suivais, juste je la surveillais... Tout de même, c'était gênant à dire... Enfin, mentir n'était pas dans mes habitudes, alors, je reportai mon attention sur la jeune fille, et celle-ci plongea ses yeux azurs dans les miens. Cela fut quelque peu déstabilisant, ce n'était pas un regard auquel j'étais habitué. Ce n'était pas le genre de regard de défi que Luka et moi pouvions nous lancer, ce n'était pas non plus celui qui apparait au moment crucial d'une conversation, lorsque l'on cherche à convaincre quelqu'un de sa sincérité, ni même celui qui permet de jauger les gens. C'était un regard insistant, et en même temps rêveur, et j'y étais sensible... Je sentis le pourpre me monter au rouge, puis me mit une baffe mentale. Wow! Ok, une fille te regarde bizarre dans les yeux, et alors? Si ça se trouve tu louche mon vieux! J'entrepris donc de répondre à sa première question.

- Bah en fait, je t'ai vus t'engouffrer dans cette ruelle, et comme je sais qu'elle peut être dangereuse, je t'ai suivie... Au cas ou...

Mais je parlai dans le vide. Haruna semblait totalement absorbée dans sa contemplation, et moi, je ne pouvais pas non plus décrocher mon regard du sien, pour une raison inconnue, je soufflai donc, quelque peu agacé, puis, claquai mes doigts juste devant elle.

- Hé, tu m'écoutes?

La jeune fille resta silencieuse encore quelques instants, puis sembla se réveiller, et pas grâce à mon claquement de doigt. Se rendant compte de son étrange comportement, elle sifflota gênée et détourna le regard. Quant à moi, je laissai échapper à nouveau un léger "Tss", pour signifier que je n'aimais pas parler dans le vide. Puis, Haruna reprit la parole, et là, j'eus un choc de taille.

- Dis tu sais que cela veut dire "amour"? Et d'ailleurs tu est déjà sorti avec une fille?

- Qu-Quoi?!

La réponse fut sans attente. Je ne m'attendais certainement pas à une question de ce genre, aussi, je fixais la fille de la principale avec l'air aussi éloquent qu'un poisson hors de l'eau. Si je savais ce que c'était que l'amour... Expectativement parlant, oui, mais en vrai? Aucune idée. Je veux dire, j'ai eu... Ce qu'on pourrait appelé des aventures, mais jamais rien de sérieux étant donné que c'était durant la période où je recherchait le Fal'Cie...
Bref, après avoir fixé un court instant Haruna d'un air "WTF?!", je détournai bien vite le regard en rougissant. Où voulait-elle en venir? Le fait est que je finis par lui répondre.

- Non... Non, jamais sérieusement en tout cas...

J'étais gênée, ma bouche était pincée, ma mine renfrognée... Je formulai alors la question qui me trottai dans la tête depuis un moment en plongeant mon regard dans celui d'Haruna.

- Pourquoi tu me demandes ça maintenant?.. J'veux dire... C'est...

Je ne terminai pas ma phrase. J'avais été troublé, et ça se voyait, je me mordis la lèvre en détournant le regard, puis, je changeai rapidement la conversation.

- Allez vient, de toutes façons, c'est pas un endroit pour parler ici.

J'entrainai donc Haruna vers le centre ville, là où l'atmosphère est plus "respirable" quand des les ruelles...

Des "Tss" sortais de la bouche d'Aloys, mais il me paraissait très gêné, comme si il voulait me mentir dailleurs il a même détourner le regard, il me paraissait triste comme si il regrettait quelque chose. Mais quand il parlé je n'avais pas vraiment fait attention, a ce moment là je pensais a des choses que lui et moi pouvons faire. Je revenu de mes pensées et entendu denouveau un "tss" venant de sa part, mais quand je lui est posé la question inconsiamment, il s'est tout de suite exclamer d'un "Qu-Quoi!?". Tiens, l'ai-je géné? Il me parassait rouge presque comme moi. Puis après m'avoir regarder d'un cours instant d'un air 'WTF!?" Il me répondit tout simplement:

- Non... Non, jamais sérieusement en tout cas...

Je ne disais rien car mon coeur battait a la chamade mais je souriais voyant que j'avais bien gêné, Il replonga son regard dans le mien tout en me disant:

- Pourquoi tu me demandes ça maintenant?.. J'veux dire... C'est...

- C'est?

Il me pris la main et m'entraîna dans la ville tout en disant qu'il fallait sortir de là cet endroit n'était pas le bon pour parler de ce genre de conversation. Sa chaleur qui provennait de sa main me reconforta, je pris mon courage à deux main et m'accrocha au bras d'Aloys, c'était décider aujourd'hui je lui avouerai mes sentimens!

- Mais dis moi où veut tu aller?

J'entraînai Haruna au travers des ruelles, nous n'étions pas très loin du centre ville, et c'était rassurant, nous ne ferions pas d'autres mauvais rencontres. Pas que j'avais peur, non, mais s'ils étaient encore en supériorité numérique, ils pourraient s'en prendre à la fille de la principale, et donc voilà, ça serait franchement pas cool quoi. Soudain, je sentis une légère pression sur mon bras. Je me retournai sans m'arrêter de marcher et vis qu'Haruna avait croisé ses bras autour du mien, s'accrochant fortement à moi. Mon regard se tourna de nouveau vers l'avant, gêné. Ce n'était pas la première fois qu'une fille se collait à moi, mais je n'avais jamais pensé de cette manière à Haruna. Et je ne pensais pas non plus qu'elle pourrait penser à moi de manière, disons... Romantique. Peut être aussi que je me faisais des films, et que si elle s'accrochait comme ça, et qu'elle avait rougit un peu plus tôt, c'était par honte de n'avoir pas sut se défendre face à des raclures de ce genre, et par angoisse qu'ils ne reviennent mais... Ca ne me paraissait pas très crédible.

- Mais dis moi, où veux tu aller?

Sa voix fluette atteint mon oreille doucement. Je lui jetai un regard interrogateur du genre "Bah, où tu veux qu'on aille, sinon en ville?", puis, devinant qu'elle n'avait pas forcément compris le sous-entendu, j'entrepris de formuler ma pensée hautement philosophique à l'oral.

- Bah, en ville. Je me dis bien que t'es sortie pour prendre l'air, du coup, je vais pas te ramener direct à l'académie...

Bientôt, la place centrale de la ville, avec son imposant fontaine, fut en vue. Je m'arrêtai t contemplait un instant le paysage, puis, je reportai mon attention sur Haruna.

- Bon, écoute. Tu peux aller où tu veux, mais va falloir accepter que je te serve de chaperon. Farron ne me le pardonnerai pas s'il t'arrivait quoique ce soit.

- Bah, en ville. Je me dis bien que t'es sortie pour prendre l'air, du coup, je vais pas te ramener direct à l'académie...

- Tu sais lire dans mes pensés ! Ouah tu est un médium?

Je me mis à rire, j'adorais embêter les gens a qui je tenait beaucoup à coeur, son regard était toujours aussi gênée et je rester toujours accroché à lui. Sa chaleur était si réconfortante, je crois que j'adorais l'avoir avec moi, ce que j'avais peur c'est que si je lui avouais de ce qui c'est passé chez Fal'Cie , qu'il me rejette est qu'il le dit à tout l'académie. Je ne sais pas si c'est son genre ou pas, il faut que je le connaisse un peu plus ! J'espère qu'il m'acceptera tel que je suis, mais parfois des espoirs s'éteignent.
Je revenu à mes pensées lorsqu'Aloys s'arrêta et posa son regard sur moi :

- Bon, écoute. Tu peux aller où tu veux, mais va falloir accepter que je te serve de chaperon. Farron ne me le pardonnerai pas s'il t'arrivait quoique ce soit.

- Mmmh sa te dit d'aller près de cette fabuleuse fontaine?

Ce n'était peut-être qu'une simple fontaine mais pour moi c'était bien plus qu'une fontaine.