Prologue d'une nouvelle vie~ [Pv : Asaki Kaïro]

La journée avait pourtant si bien commencé... Le matin même, j'étais arrivé dans une ville accueillante nommée Kamiki. Un des habitants m'avait gentiment renseigné sur la ville. Cette dernière avait été épargnée par la guerre menée par le Fal'Cie. En effet, Kamiki n'avait pas le potentiel militaire pour l'inquiéter, ou lui servir d'une quelconque manière... Il fallait dire que la plupart de ses habitants avec l'air insupportabelement candide... C'en était vraiment exaspérant de voir tous ces sourires niais... Enfin, au moins, les gens ici étaient polis... A chaque fois que je croisait la route d'une nouvelle personne, celle ci me saluait chaleureusement.
J'avais donc passait la majorité de la journée à visiter la ville et à questionner les gens sur la Main Noire, mais personne ne me répondit favorablement. Soit on me faisait gentiment remarqué que c'était un sujet tabou, soit on me disait qu'il n'y avait rien à savoir dessus, j'avais donc l'impression d'avoir lamentablement perdu mon temps...
J'ai fait un tour au restaurant de la famille Ouji, leur excellente recette me fit oublier la déception de la matinée. Il était temps pour moi de quitter la ville. Je sortis donc du restaurant, et j'eu l'étrange impression de me faire suivre. Un discret regard derrière moi confirma cette impression. Un groupe de jeune me suivait avec l'air affamé d'une bande de charognard. L'un d'eux avait l'oeil bandé, mais son regard ne me disait rien qui vaille. Je soupirai alors, il fallait que je me débarasse rapidement de ces idiots, ils risqueraient sinon de m'attirer de vrais ennuis. Ahh lala... La journée avait pourtant si bien commencée... Beau temps et tout...
J'entraînais donc mes poursuivants dans une ruelle peu fréquentée me semblait-il. Je n'avais aucunement peur, j'avais une parfaite confiance en mes capacités. Dans l'une des nombreuses de mon pantalon se trouvaient plusieurs petits poignards, et, à ma ceinture, caché par un large T-Shirt blanc, une arme à feu.
Je m'arrêtai devant un mur, auquel je m'adossai d'un air fière. Mes poursuivants m'avaient suivis, leur chef, celui à l'oeil bandé s'avança vers moi, et déclara d'un air patibulaire :

- Hé toi! L'étranger! T'as interêt à nous donner tout ce que tu as si tu veux quitter Kamiki en un seul morceau!

Il semblait si sûr de lui, ah! Quelle ironie. Je ris, puis lui jetai un regard meurtrier. Il avait l'air surpris, mais il finit par faire un geste râgeur vers moi. Ses deux comparses se ruèrent grossièrement vers moi. Je n'eus aucune difficulté pour les éviter. J'en profitai pour donner un coup violent dans le coup de l'un deux, qui s'écroula lamentablement au sol. Le deuxième sortit un poignard et se jeta denouveau sur moi. Je le désarmai, et de deux coups précis, je lui paralysai le bras. Il recula d'un air effrayé, tandis que mon sourire s'élargissait. Il finit par s'enfuir en courant en tenant son bras.
Le chef jura et me fixa d'un air courroucé. J'eu un soupir amusé.

-Ne t'inquiètes pas, au bout de quelques heures, il retrouvera l'usage de son bras...

Je savais parfaitement que ce n'était pas la préoccupation première du jeune garçon devant moi. Il devait certainement chercher un moyen de s'en sortir, mais à part la fuite, rien ne semblait lui appraître plus judicieux. Il déclara alors.

-Toi! Tu ne perds rien pour attendre!

Il s'enfuit alors à son tour, laissant son autre camarade au sol. J'articulai alors d'un air dédaigneux "Peuh... C'est pathétique...". Puis, j'entendis des pas venir dans ma direction. La personne qui arrivait avait-elle assistée à la scène? Venait-elle aussi pour me voler? Qu'à cela ne tienne. Je sortis un poignard de ma poche, près à le lancer à mon potentiel nouvel agresseur.

C'était un jour quasi normal pour Asaki qu'elle décidait de sortir pour voir ce qui se passer dans la ville de Kamiki, elle allait voir un peu partout marchés, la place centrale... Même si certain regard méfiant se tournait vers elle, mais elle ignorait tout en soupirant car, elle était habiller différemment que les autres jours elle était habiller décontracté jean noir et maillot à manche longue noir et violet et elle s'était attacher les cheveux en queue de cheval.
Mais, on dirait qu'elle était un peu reconnue donc, le côté "envie de me mêler dans la foule" était un échec mais, elle s'enfichait pas mal maintenant en aillent reçu tant de critique au fil des années que sa c'était rien du tout pour elle, mais bon certain on eu la politesse de lui dire un bonjour qu'elle rendait aussitôt.

Tout ta coup elle aperçue quelqu'un qui était surement pas de la ville entrain de questionner les gens, mais sur quoi...
Asaki voulait savoir plus sur ça alors, elle s'approchait discrètement pour le suivre, elle entendait le jeune homme poser des questions sur l'organisation de la Main Noire, rien d'entendre le nom la fit froid dans le dos mais, elle soupirait aussitôt pour enlever ces émotions dites inutiles à ses yeux.
Mais, le jeune homme avait poser la question aux mauvaises personnes déjà que dans la ville c'était tabou de parler de Fal'Cie alors sa devenait de même pour la Main Noire donc, par pur plaisir d'entendre les réponses des villageois sur ce sujet alors elle le suivit de loin et remarque qu'un groupe de jeune garçon qu'elle avait connus comme un petit gang de minables qui menacer les étrangers pour avoir leur argent du mois et faire fuir les touristes ils l'avaient menacer.
Mais, ils ont tombés sur un os et résultat ils on eu de la peau brûler sur leur corps surtout le chef qu'elle le brûlait vers l’œil et quelques bras casser après qu'ils s'est frottés à Asaki donc ils avaient un sacrée souvenir d'elle mais, ils l'avaient pas reconnue alors, elle à pu voir ce qu'ils allaient faire au jeune homme.
Même si, elle savait ce qu'ils allaient faire qui était comme toujours ils menaçaient pour avoir ce qu'ils veulent mais, le jeune homme était pas le genre de se laisser faire alors le groupe le menacer encore mais rien alors, le chef envoyait ses toutous à l'attaque mais, le jeune homme à réussi à assommer un des deux toutous alors, l'autre sortait son couteau pour le blesser.

Mais le jeune homme réussi à le désarmer et à paralyser son bras en quelques coups qu'il s'enfuit aussitôt donc, elle riait doucement par pur moquerie, car, la réaction du lâche qui servait de chef s'enfuit en laissent son toutou assommer devant le jeune homme qui disait quelque chose qu'elle n'écouter pas et allait vers lui en le regardant en restant calme sans rien dire elle s'abaissait vers l'assommer et le réveillait d'une claque et elle dit froidement:

-Alors, ma leçon vous à pas suffit on dirait...

-T'est...t'est qui?

Asaki soupirait et se détachait les cheveux et le regarde froidement dans les yeux et dit:

-Et là?

-Non...Pas toi...

Il se relevait aussitôt en se reculant, alors Asaki lui dit:

-Si c'est bien moi alors dit à ton chef si il recommence à nouveau il aurait à faire à moi et je serrait sans pitié bien compris.

-Oui...Mais me ne brûler pas j'ai pas envie de perdre mon œil...Je vous en supplie... Dit-il en tremblent de peur.

-Peut-être si tu part aussitôt en passent mon message à ton chef.

-D'ac...D'accord...

Le jeune partis à toute vitesse alors, Asaki se relevait et regardait le jeune homme et met la main sur son couteau et le rabaissait en disent froidement:

-Baisse ton arme je ne suis pas comme ceux que tu vient de voir... Je t'ai suivie car, tu questionner les habitants à propos d'un sujet tabou et peut-être que tu pourrais aider à le battre...

Elle le regardait dans les yeux d'un air neutre en tenant son couteau jusqu'à qu'il range et attendait sa réaction avec ce qu'elle à fait et dit... Même si elle dit à voix basse:

-Je sent que si ça s'entend jusqu'au aux oreilles de la directrice je sent que elle va encore m'engueuler... Quel emmerdeuse...

Les bruits de pas se rapprochaient de plus en plus, jusqu'à ce que je pus distinguer la silhouette d'une jeune femme. Elle était habillée dans des tons violets, comme sa longue chevelure attachée en queue de cheval. Elle semblait fière, elle en imposait. L'aura qu'elle dégageait était bien plus dangereuse que celle des petits malfrats que j'avais défait un peu plus tôt. Elle s'avançait sans se sentir nullement menacée par la lame que je tenais à la main. Elle s'accroupis près du jeune homme que j'avais assomé, puis, elle le réveilla de manière peu agréable. S'ensuivit alors un court échange au cours duquel elle détacha sa longue chevelure. J'observai la scène sans intervenir, mais la réaction paniquée du mon ancienne victime m'arracha un sourire moqueur.
Elle le menaça un instant avant de lui transmettre un message pour son chef qui avait fuit lamentablement devant moi. Je soupirai en le voyant à son tour prendre ses jambes à son cou. La jeune femme se releva alors, et porta son attention sur ma personne. Elle s'avança vers moi, puis, déclara d'un ton altière :

- Baisse ton arme je ne suis pas comme ceux que tu vient de voir... Je t'ai suivie car, tu questionnais les habitants à propos d'un sujet tabou et peut-être que tu pourrais aider à le battre...

Je fronçai les sourcils. Elle aussi m'avait suivi, et depuis bien plus longtemps que les petits malfrats d'un peu plus tôt. Je me mordis la lèvre, je ne l'avais pas senti venir, son niveau était bien supérieur au mien... Si elle avait voulu, elle aurait parfaitement put me désarmer, mais elle avait préféré me le demander, même si elle m'avait forcé à baisser mon couteau... Je m'exécutai alors, rangeant dans ma poche mon poignard. Elle marmonna autre chose dans sa barbe, mais c'était si bas que je ne compris quasi rien, je décidai alors de ne pas y prêter attention. Je croisai les bras, mon aire devait sûrement paraître orgueuilleux, mais je n'en menais pas large, tout en cette femme m'inpressionnait, et je me maudissais intérieurement de me sentir aussi médiocre et désarmé. Je pris la parole, essayant de paraître le plus sûr de moi.

-Alors... Vous connaissez la Main Noire? Vous avez des informations sur cette maudite organisation?

Je fronçai les sourcils tandis que je détournai le regard en me remémorant les évènements de cette nuit là, puis je me repris assez rapidement.

-Vous avez parlez de les battre? Qu'est ce que cela signifie?

Je devais certainement lui faire très mauvaise impression, mais c'était le cadet de mes soucis, et la colère montait en moi, à mesure que je me remémorait ce qu'ils avaient fait à ma famille.